A ma tendre aimée {Alice}

{Inspiration ou es-tu quand j'ai besoin de toi ??.....}
Dans la maison tout était calme. Carlisle avait été appeler d'urgence, un de ses patients faisait une rechute. Esmée était au salon , elle parlait avec Edward qui caressait doucement les touches de son piano. Rosalie et Emmett avait senti le besoin de se retrouver un peu seul, surtout après la crise de nerf que la belle blonde avait fait quelques temps avant.

Je me souviens encore de cette journée ou j'ai du me rendre rapidement à la villa, cette détresse qui entourai tout la maison était si puissante que si jamais été un humain je me serai surement mit à pleuré. Rosalie, ma pauvre Rose.... Cette penser me mit un peu à l'envers. Je ne suis pas proche de Rosalie, mais qui serai insensible à tout ce qui peu se passer de sombre dans la tête d'une personne. Cette famille et la mienne et même si je suis un peu à lécart de tout, surtout depuis que l'humaine est entré dans la vie d' Edward, je reste attacher à eux.

Alice était proche de moi. Ce qui me sorti de mes pensés. Elle me regardait avec cette petite inquiétude dans le regard. Celle qu'elle a toujours quand elle me surprendre à partir dans mes pensés. Je lui fis un petit sourire pour lui montré que c'était rien. Elle me le rendit. J'adore voir ma femme sourire. Je m'assis pour être au même niveau qu'elle puis passa une main douce sur sa joue avant de lui dérobé un doux baiser. Une fois l'échange fini je dégagea une mèche de cheveux du visage de ma femme avant de prendre la parole.

-Je ne t'ai pas senti entré. Une chance que je n'ai pas un coeur actif j'aurai pu faire une crise...Comment vas-tu ?

J'avais senti Alice un peu étrange ses temps si. Je ne voulais pas la rendre mal, mais ma curiosité et mon inquiétude était un peu plus forte que ma volonté.

(HJ : Que s'est-il passé avec Rose ? C'est un autre RP ? Pas tout suivi ... et pas tout compris ^^ ! Tu peux m'éclairer stp ?)

Alice entra dans sa chambre silencieusement, comme un fantôme ... ou un vampire. Elle vit son chéri debout, au centre de la pièce, plongé et absorbé par ses pensées. Elle s'occupa à ranger une lettre dans son tiroir, puis sentit Jasper sursauter dans son dos : il ne l'avait pas entendu entrer. Elle lui lança un regard inquiet, mais il la rassura par un sourire, qu'elle lui rendit. Elle s'installa sur le lit, attendant qu'il la rejoigne : ce qu'il fit, s'asseyant à ses côtés, l'embrassant avec des gestes doux. Qu'elle l'aimait, son Jasper ! Cette rencontre avait et serait à tout jamais la plus belle de sa vie, ça, elle en était certaine.
Alice se sentait tellement bien dans les bras de son chéri qu'elle lui déroba un nouveau baiser, qu'il lui rendit bien. Comme elle ne pipait mot, ce fut Jasper qui engagea la conversation :

Citation :

- [...] Comment vas-tu ?

- Ca va ... Mes visions commencent à revenir, désormais, mais je suis toujours tracassée par cette nouvelle, tu comprends ... Et, telle que tu me connais, pas facile de m'apaiser ! Enfin, ça dépend pour qui ...

Elle sourit à son allusion, et, s'appuyant sur le torse de son homme, l'obligea à basculer vers l'arrière, doucement. Ils se retrouvèrent donc tous deux allongés sur le lit, enlacés, en parfait osmose ...

- Et toi, comment vas-tu ? Tu t'échappes dans tes pensées, donc ton est inquiet, et tu sais qu'un simple sourire ne suffit pas à me rassurer ... Dis-moi tout ...

Okay, j'le fais en postant ma réponse.}

Quand je sentis Alice proche de moi je repris rapidement contact avec la réalité. C'était un peu troublant de voir à quel point ou pouvait s'enfermé rapidement dans notre bulle quelque fois. Ma douce se mit sur le lit, question de ne pas l'avoir trop loin de moi je m'installa à coter d'elle. Elle fini par répondre à ma question. Je gardais le silence , les pensés décidait de vagabonder un peu . Je me sentais vraiment impuissant dans cette histoire. Peu importe ce qui va se produire j'aurai toujours l'ordre du '' Reste loin''. Les prochaines semaine allaient s'annoncé vraiment, mais vraiment intéressante.... Je vous rassure tout de suite je suis sarcastique....

Mon attention fut reprise par Alice qui me poussait doucement pour que je tombe sur le dos. Je suivis le mouvement qu'elle m'imposait puis, une fois coucher, je l'envolloppa dans mes bras. De nouveau sa petite voix cristalline se fit entendre. Je lui embrassa le dessus de la tête avant de prendre la parole.

-Ne t'inquiète pas pour moi. Je ne faisais que pensé à toi , à tout ce qui va s'en suivre avec cette histoire étrange... Et aussi je pensais à Rosalie...

Ce que je venais de dire allait surement sonner dans la tête d'Alice comme un. '' Rosalie recommence à faire sa sauvage et Jasper se laisse prendre au jeu.'' Je me mis à caresser le dos d'Alice tout en continuant ce que je disais.

-Rosalie fait des crises d'angouasse. Je ne savais pas que sa existais pour nous, mais peu importe. Elle à fait sa seconde crise il y a pas longtemps. Et ... Edward me dit qu'elle entend des choses dans sa tête... Et tu sais comment je suis. Plus les sentiments sont puissant et plus je suis attiré vers eu. Donc Rosalie m'obsède en se moment.

J'aurai bien ajouté à Alice de ne pas s'en faire avec sa. Rosalie était entre bonne main... mais la connaissait elle n'allait pas resté la à rien faire. Elle se soucit trop des autres pour ne pas mettre son grain de sel.

Alice prit comme un coup de couteau la révélation de Jasper au sujet de sa soeur, Rosalie. Elle n'avait beau pas trop être très proche de cette dernière, elle ne pouvait s'empêcher de s'inquiéter dès qu'une personne de son entourage avait un problème, particulièrement de sa famille.

Alors, comme ça, Rosalie faisait des crises d'angoisses ? Elle comprenait maintenant la réaction de Jasper vis-à-vis de sa soeur : n'importe qui, pouvoir ou non, s'inquièterait pour un membre de sa famille. Et Jasper avait un inconvénient en plus : les émotions, telles qu'elles soient, l'attiraient inévitablement. Elle posa une question qui la titillait au plus profond d'elle-même :

- Et, tu ne peux pas faire quelque chose pour Rose ? Je n'aime pas te voir dans cet état, et ça ne doit pas être marrant non plus pour Rosalie, je l'avoue.

En attendant la réponse de son chéri, elle s'enfonça encore plus dans ses bras, l'embrassant au passage. Elle aimait ces moments de complicité partagés avec lui, d'amour ...
Quelle que soit la discution ...

{Desoler pour le temps de réponse, je suis un peu bloquer la, mais je vais faire avec ^^ }

Alice était un peu trop silencieuse pour moi. Rare était les moments ou elle avait rien à dire. Comme tout le monde elle devait avoir besoin de ses moments de silences pour mettre de l'odre dans sa tête. Chose que je pouvais parfaitement bien comprendre comme je suis le genre de personne à rester en silence durant de long moment pour prendre mes esprits. J'aurai aimé la faire parler, mais pas tout de suite, attendons un peu . Si elle ne dit rien bientôt je prendrai la parole pour ne pas qu'elle se noie dans ses pensés.

Ma main caressait toujours le bas de son dos. Mes yeux étaient fermé et ma joue était accoté sur le dessus de sa tête. On aurai pu nous prendre pour deux personne entrain de dormir ou pour des statut tout dépendait de la mentalité de la personne qui regarderai la scène silencieuse.

Le temps passa. Peu etre quinze minutes ou vingt. Je commençais à me sentir mal de ne pas entendre Alice parler ou la sentir active elle qui était toujours remplis de vie en temps normal. J'arrêta les caresses dans le bas du dos pour aller jouer dans ses cheveux tout en prenant la parole avant elle.

-Et si on bougeait un peu. Tout ce qui ce passe ce n'est pas une raison pour se laisser abbattre. Partons nous changer les idées. Un nouveau décor durant quelques heurs ne nous fera pas de mal. Qu'est ce que tu en pense ?

Citation :

-Et si on bougeait un peu. Tout ce qui ce passe ce n'est pas une raison pour se laisser abbattre. Partons nous changer les idées. Un nouveau décor durant quelques heurs ne nous fera pas de mal. Qu'est ce que tu en pense ?

Jasper venait de rompre la palpable solitude et le silence dans lesquels Alice s'était enfermée. Soucieuse, elle n'avait pas vu le temps passer.
Elle s'était enfoncée au plus profond de ses pensées, s'éloignant du monde réel de plus en plus, et elle fut surprise, en ouvrant les yeux, de remarquer à l'horloge que près de vingt minutes s'étaient écoulées depuis leur dernier mot à tout les deux. Comme le disait Jasper, ils avaient vraiment besoin de se changer les idées.

Elle se releva du lit, silencieusement et doucement, accompagnée du torse de son compagnon qui se relevait dans le même temps. Mains dans la main, elle se leva et il la suivit, jusqu'à la fenêtre de leur chambre. Le temps était clair, légèrement nuageux, mais n'annonçait pas de pluie. Le temps idéal pour la petite bourgade où ils vivaient, Forks.

Alice se détourna de l'extérieur, et, embrassant Jasper juste avant, elle lui dit :

- Bonne idée. Sortons un peu, rien que nous deux. Où veux-tu aller ? Tu as soif ?