petite mélodie ( carlilsle mais d'autres peuvent venir)

Rosalie était seule à la maison.... C’était très rare! Normalement, le manoir abritait toujours plusieurs personnes à la fois. Carlisle faisait des heure supplémentaires à l’hôpital, Alice,Jasper et Emmett étaient partit chasser, Edward devait trainer quelque part et Esmé faisait les boutiques.... Certainement d’ailleurs que celle-ci ne tarderait pas trop à revenir. Il restait cependant encore un petit moment à la blonde pour être toute seule. Rose avait passé la journée sur le projet qu'elle et Alice avaient ensemble. Cela faisait un bon moment qu’elles travaillaient sur la nouvelle garde-robe de Rose. Elle avait mis sa touche personnelle sur les nouvelles créations d’Alice. Elle avait déjà passé vingt fois toutes les chaînes de télé sans trouver quelque chose d’intéressant. Finalement, elle regarda d’un oeil mauvais le piano à queue qui occupait une grande partie de hall. Cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas rejouer de musique... Pour elle, c’était une délivrance la musique. Il n’y avait que lorsqu'elle était heureuse qu’elle pouvait en jouer... Elle était la meilleur musicienne de la famille après son frère Edward. Cela faisait si longtemps qu’elle n'avait pas jouer qu'elle se demandait si ses doigts seraient aussi agiles qu’autrefois. Elle soupira, résignée. Elle s’assit sur le banc rembourré. Elle effleura les touche blanches et noires du clavier du bout des doigts. Elle ferma les yeux et se laissa transporter par ses sentiments. Elle débuta avec une gamme en ré mineur. Elle déboucha ensuite sur une pièce de Bach. Suivant toujours le rythme de ses émotions, cela l’emmena à une toute nouvelle mélodie. Celle-ci était à la fois joyeuse mais le fait qu'elle soit en relative mineur lui donnait un air triste. C’était se qu'elle ressentait... À la fois la tristesse et la joie. Elle continua cette nouvelle création se laissant bercer par la jolie mélodie. Elle était heureuse de voir que ses doigts savaient parfaitement où trouver les bons accords pour continuer cette composition. Elle était tellement transporter qu’elle n’avait pas entendu que quelqu’un était entré. C’était sa famille mais, elle ne le savait pas. Elle était complètement dans sa bulle, contente de pouvoir se laisser aller à ses sentiment les transmettant par la voix de la musique. Elle se rendit soudain compte qu’on l’observait... Elle ouvrit les yeux et vit la silhouette fine de son père. Normalement, elle aurait cessé de jouer mais elle savait que sa famille aimait l'entendre jouer autrefois et que le fait qu’elle ne jouait plus l’avait un peut attrister! Elle continua donc à jouer cette mélodie quelque peu mélancolique. Elle regardait ses doigts danser sur le clavier du piano. Elle sentait la fin de sa mélodie arriver. Elle fit le dernier accord en descendant le son doucement. Elle soupira doucement et se tourna vers sa famille. Elle lui adressa un faible sourire et lui dit:

-Je ne suis peut-être pas si rouillée que cela après tout...

Elle eut un petit sourire en coin qui semblait faux. Rose souffrait mais, elle n'aimait pas inquiéter sa famille avec cela.

Après avoir passé plusieurs heures à l'hôpital, qui était un peu comme son refuge, Carlisle arriva devant chez lui. Accompagné de sa voiture qu'il gara devant l'entrée de la grande villa blanche.
Il sorti de son automobile, attrapant sa trousse médicale au passage, de manière complètement humaine. Et il referma d'un geste gracieux, la portière de la voiture derrière lui.
Dehors, le temps était le même que depuis des semaines. Nuageux et humide. Il était vrai que c'était un temps parfait pour lui et sa famille. Mais pour les humains... Ce n'était pas vraiment le cas. Eux préféraient le beau temps et la chaleur. Ce qui n'était pas souvent le cas ici, à Forks.

Une mélodie envoutante se faisait entendre dehors. Une mélodie qui venait de chez lui, et c'était sa fille qui jouait... Carlisle n'avait pas besoin de le voir pour le savoir.
Il y avait un bout de temps que Rosalie n'avait pas jouer du piano. Cela avait manqué à son père, et pas qu'à lui.
Carlisle adorait entendre ses enfants, en particulier Edward et Rosalie qui étaient tous deux des spécialistes de la musique, jouer d'aussi belle et douce mélodie.

Le vampire blond, père de la famille Cullen, entra des plus discrètement dans la villa. Refermant la porte et posant ses affaires dans l'entrée, sans un bruit.
Passant ensuite dans la pièce, où la musique était jouée. Carlisle n'eu aucune surprise en voyant sa fille jouer du piano. A par le fait qu'il y avait longtemps qu'il ne l'avait pas entendu et vu transporter son monde comme ça.
Elle était là, les yeux fermées, se laissant bercer par la musique, partant dans un autre univers que le leur. Emportant avec elle Carlisle, qui se laissait emporté lui aussi.

Plusieurs secondes passèrent jusqu'à ce que la blonde rouvre ses yeux. Sa fille n'avait pas l'air très surprise en voyant son père. Elle avait du l'entendre arriver. Les vampires avaient une ouie indéfiable.
En revanche, elle avait l'air mal, et ses paroles ne lui ressemblaient pas. Evidement qu'elle n'était pas rouillée. Loin de là même.

- Tu n'es pas du tout rouillé. Au contraire.

Carlisle afficha un sourire, destiné à sa fille, avant de venir prêt d'elle et s'assoir.

- C'était magnifique.

Il aurait pu rajouter "comme d'habitude". Car Rosalie était extrêment douée, tout comme son frère, et cela ne changeait absolument pas avec le temps.

Elle fixa de nouveau le piano l’air songeuse. Elle avait les lèvres pincées, comme lorsqu’elle réfléchissait. Elle se sentait bien. Comme si la musique lui avait permis de s’évader un moment. De laisser ses sentiments et ses tourments un instant pour se concentrer ailleurs lui avait fait du bien. Elle se sentait légère et sereine. Elle soupira de soulagement et dit dans un murmure :

- Je n’aurai pas dû négliger la musique aussi longtemps... J’avais oublié à quel point cela me rendait heureuse d’en jouer.

Elle avait dit cela à voix haute mais peut-être plus pour elle-même... Elle ne se souvenait même plus pourquoi elle n’en jouait plus! Si elle s'était souvenu à quel point cela la rendait heureuse, elle en aurait joué depuis déjà un bon moment! Elle se sentait comme une plume. Ses tourments semblaient loin derrière . Ils semblaient si peu importants. Elle savait cependant qu'à la première occasion, ceux-ci reviendraient à la charge! Mais,elle ne se préoccupait que du moment présent. Prendre les bons moments pendant qu’ils passaient! Elle fit danser sa main sur le piano jouant une symphonie de Bach. Elle attendit que son père relance la conversation. Mais ses mouvements prirent sur elle et pour la première fois du moins devant quelqu'un surtout devant son père elle s'effondra en larmes

Edward était parti depuis un long moment maintenant. Il revenait de chez Bella; il était passé chez elle, mais n'avait pas été vu, non!! Edward l'avait admirée de la fenêtre depuis que Bella Swan était arrivée à Forks, Edward était comme attiré par elle cela ne s'était jamais produit depuis qu'il était...ce qu'il est. Il arriva non loin de la grande villa blanche, il perçut la voix de Carlisle et...Rosalie pleurer? Que c'était il passé pour qu'elle soit dans un tel état? Edward accéléra sa vitesse pour arriver à la villa. Il arriva à l'entrée à toute vitesse et aperçut la voiture de son père. A l'entrée comme d'habitude ses affaires il venait de rentrer de l'hôpital à tous les coups, il arriva au salon où se trouvaient les deux membres de sa famille Rose au piano et son père près d'elle apparemment rien de bien grave...

- Rose? que se passe t-il? Je t'ai entendue pleurer! quelque chose ne va pas bien?

Le vampire s'approcha d'elle.

- Oh toi! tu as joué du piano? Je me trompe? ça fait un bye que je ne t'ai pas vu assise ici...

Lui dit-il avec un petit sourire qui parcourut son visage blanc.

Assis prêt de Rosalie, sa fille qu'il avait lui même créer alors qu'elle était au bord de la mort, il l'observait. Elle avait l'air songeuse, se sentant en même temps bien. Carlisle le ressentait. Cela faisait presque un siècle que Rose, était un de ses semblables et qu'ils vivaient tous les deux sous le même toit, avec les autres membres de la famille Cullen. Le père avait eu le temps de connaitre sa fille depuis tout ce temps.

Et il pouvait dire, même affirmer que lorsqu'elle jouait, Rosalie Cullen partait dans un autre monde, oubliant au passage tous ses soucis, lorsqu'elle en avait bien sur.
Cela avait l'air d'être le cas ici. Ses paroles en était la preuve.
Dans tous les cas, la musique était le bon remède visiblement pour sa fille ici. Elle même disait à voix basse, peut être qu'à elle même, que ce moyen la rendait heureuse.

- La musique nous rend tous heureux. On rentre dans un autre univers.
Un monde qui est souvent, plus idéaliste que le notre.

Tout ça, elle le savait au fond d'elle. Carlisle appuyait juste cela, ne voulant pas qu'elle n'oublie ça.
La jeune vampire reporta une nouvelle fois, son regard au piano, jouant à présent un morceau de la symphonie de Back. Un morceau tout aussi mélodieux que le premier qu'elle avait jouée. Visiblement, elle attendait quelque chose. Surement que son père relance la conversation, qui avait à peine commencé. Mais avant de repartir là-dessus, il préférait qu'elle termine de jouer. Profitant de la sublime mélodie que lui offrait sa fille.

Rosalie finit par s'arrêter. En plein dans le morceau de musique. Comme si elle avait vu ou repenser à quelque chose de triste à ce moment précis. Carlisle s'étonna. De puis, elle éclata en sanglot. Double surprise pour le père, qui eu pour réflèxe de prendre sa fille dans ses bras. Pas de doutes, quelque chose n'allait pas.

- Qu'est ce qui se passe Rosalie ?

Gardant sa fille contre elle, ses bras l'entourant. Jusqu'à ce que son fils arrive, surpris lui aussi par l'attitude de sa soeur.

Elle lança un regard aux deux hommes présents dans le salon.Un regard qui en disait long! Elle voulait qu’on lui pardonne. Qu’on lui pardonne d’être aussi égoïste! D’être aussi centrée sur et elle seule... Elle était faite comme cela. Elle s’aimait elle et son bien être. Dans la vie, elle avait toujours su ce qu'elle voulait! Elle avait toujours tracé une ligne bien droite et définie ver son futur. Elle pouvait approximativement tout prévoir. Lorsqu’elle avait une idée en tête, elle la fixait et ne la lâchait pas avant de l’avoir atteinte! Mais là, savait-elle vraiment ce qu'elle voulait? Elle n’était plus sûre de rien... Plus sûre de ce qu’elle voulait.... Plus sûre de ce qu’elle était... Elle qui était toujours sûre d’elle et qui avait toujours une grande assurance ne l'était plus aujourd’hui. Il fallait vite le dire car elle ne pleurait pas vraiment au sens propre car son physique ne lui permettait pas! Elle n'aimais pas ce qu’elle était devenue. La femme faible qu’elle représentait dans le moment, elle l’horrifiait! Elle n’en voulait pas... Elle rassembla son courage et dit à son père et à son frère:

-Qui suis-je ...? Qu’est-ce que je suis entrain de faire de moi... Qu’est-ce qui m’arrive! Pourquoi tout ne peux simplement pas être comme avant...?

Ses dernier mots avait été dit dans un murmure. Encore une fois, Rose vivait dans le passé et cela la faisait encore plus souffrir...

desolé je suis pas la plus douée en français excuse moi

Edward fut surpris par les mots et l'attitude de sa soeur, il regardas son "père" d'un air inquiet. Edward n'arrivais pas à comprendre du moins il n'en était pas sûr. Il n'avait jamais vu Rosalie se mettre dans un tel état devant lui en tout cas. Il était près d'elle accroupi, la regardant il mit sa main sur son épaule, Edward lisait de la tristesse en elle un regret...

- Hey! Rose calme toi, qu'est-ce qui se passe? Pourquoi cette réaction?...

Cherchant à comprendre, d'un seul coup il perçus un moment les pensées de Rosalie le passé était en train de remonter à la surface... cela n'était pas bon... Pourquoi tout cela revenait? Edward se posait des questions, sa soeur l'inquiétait... Il n'aimait pas voir ses proches dans un tel état, Rosalie ne supportait pas d'être... ce qu'elle était. Sa vie était pour elle gâchée. Edward la prit contre lui

- Calme toi ça va aller... tu es quelqu'un de bien tu le sais...

Dit-il d'une voix mélodieuse. Il getas un cou d'oeil à Carlisle face à lui sous un ton inquiet

Le regard de sa fille inquièta encore un peu plus Carlisle. Visiblement, sa fille en avait gros sur le coeur.
A vrai dire, Carlisle se doutait que cet instant allait arriver un jour. Rosalie était une fille fragile, et avait besoin de se sentir entouré, malgré que de temps en temps, elle ne pense qu'à elle. Mais ça, c'était sa nature et personne ne pouvait lui en vouloir. Surtout pas sa famille.

Depuis qu'elle était devenue vampire, Rosalie avait du mal. Son passé la faisait énormément souffrir. Carlisle le savait, étant au courant de tout. Elle avait énormément souffert de ce qui lui était arrivé et encore plus aujourd'hui. Elle avait toujours voulu être une humaine, comme les autres. Avoir une jeunesse, puis un mari et des enfants avec une maison... Ca avait été ça son rêve pendant des années, Rose l'avait toujours dit à son père. Malheureusement pour elle, elle avait du tirer un trait sur son rêve le plus cher. Et Carlisle se sentait un peu responsable. Car c'était lui qui l'avait créer, sans lui demander avant si oui ou non elle était d'accord pour devenir un vampire, si oui ou non elle voulait vivre, différement, changeant radicalement toutes ses habitudes de vie.
Mais à y penser, personne n'avait eu le choix... Même pas lui.

Sa fille toujours contre elle, il échangea un regard avec Edward, qui devait certainement se douter de tout ce que lui et Rosalie pensaient, grâce à son don fabuleux. Lui aussi était inquiet pour la jeune blonde, et essayait de lui remonter le morale, lui assurant que c'était quelqu'un de bien.
Evidement que c'était quelqu'un de bien. Jamais Rosalie n'avait fait de mal à personne, à part ceux qui lui avaient fait du mal, à quelques jours de son mariage. A part cette vengeance, Rosalie n'avait fait aucun mal autour d'elle.

- Edward a raison Rosalie. T'es belle, intelligente... Tu as jamais fait de mal autour de toi. Tu es quelqu'un de bien. Et puis, tu es comme tu es, on t'aime avec tes qualités et tes défaults.

Affichant un petit sourire sur son visage, voulant la réconforter. Carlisle n'aimait pas voir sa fille dans cet état. Ni même un autre membre de sa famille.

Ils disaient tous les deux qu'elle était une personne bien qu'elle n'avait jamais fait de mal. Elle peut etre n'avait elle jamais fait de mal mais on lui avait fait du mal et toutes ces douleurs remontaient en elle. Ce qui lui faisait le plus mal s'était de se rendre à l'évidence que jamais elle ne pourrait avoir la vie telle qu'elle l'avait imaginée, avec des enfants,qui l'aurait appelés maman..Voila ce qu'elle aurait voulu avoir! Et etre une mère aimante envers ses enfants....

- Non!!!arretez je ne suis pas quelqu'un de bien,je ne suis pas jolie ni intelligente peut etre que j'aurais dû mourire,je ne serai pas entrain de vous faire du mal alors que je veux que vous soyez heureux...

Elle reprit son souffle,elle en avait gros sur le coeur cela était sûre,mais avec toute cette agitation ses dons "disjonctaient" un peu.Elle commençait a ne plus très bien voir ni entendre.Elle paniquait totalement,elle se leva et voulut aller s'assoire plus loin mais elle rata la porte et tomba par terre.Elle resta par terre et se remise a pleurer

Rosalie en avait vraiment gros sur le coeur, elle savais plus se qu'elle disais! Sa soeur était dans un mauvais état il regardas Carlisle qui comme Edward était dans la même état. Rosalie c'était levée furieusement sur le cou de la collère et c'était dirigée vers la sorti mais tomba au sol de plus en plus mal. Edward et Carlisle se précipitas vers elle en une fraction de seconde de deux hommes de la maison était près d'elle, la jeune fille était totalement déboussolée. C'était vrai qu'elle avais jamais rêvé de cette vie, Rosalie avait des rêves plein la tête, un mari, des enfants une vie normale comme tout les humains. Mais la vie en a voulus autrement, la famille Cullen l'avait transformée en vampire. Jamais ils auraient laissais mourir

Arrête toi Rose! Il faut que tu te calme, dit pas tout ça tu nous fait pas de mal jamais! Tu a pas le droit de dire ça. On est heureux et non le contraire tu nous rend pas malheureux, calme toi Rose...calme toi...

Edward la pris dans les bras et la relevas du sol, elle était éffrondrée.

Carlisle ne disait absolument que la vérité. C'était quelqu'un d'honnête et droit. Si vraiment Rosalie n'était pas quelqu'un de bien, il l'aurait été franc, et surtout, il ne l'aurait pas transformer en vampire pour qu'elle vive.

- Ne dit pas de bétise Rosalie. Bien sur que tu es quelqu'un de bien. Même si tu as fait des erreurs, et que t'en fais encore. C'est normal, c'est humain.

Pour cela, tout le monde était pareil. Tout le monde faisait des erreurs, personne n'était parfait, loin de là.
Lui même avait fait des bétises étant jeune, et même lorsqu'il avait commencer dans sa vie de vampire. C'était tout à fait humain de faire une faute de parcours.

Rose ne leur faisait pas de mal. Elle ne faisait rien de mal. Elle craquait juste, c'était totalement compréhensible. Avec tout ce qu'elle avait vécue... Il n'y avait aucun mal à ça.
Désormais, la jeune blonde était part terre. Carlisle vint prêt d'elle une nouvelle fois.

- On a besoin de toi nous Rosalie. Tu es ma fille et celle d'Esmée, la soeur d'Edward, Alice et Jasper et la femme D'Emmett. Tu fais parti de la famille. Sans toi, on ne serait pas heureux.

Carlisle disait ça avec franchise. Ses propos étaient totalement honnête. Ils avaient tous besoin d'elle. Elle était un membre à part entière de la famille.
Edward prit Rosalie dans ses bras, la relevant du sol. Carlisle fit de même.

Arrête toi Rose! Il faut que tu te calme, dit pas tout ça tu nous fait pas de mal jamais! Tu a pas le droit de dire ça. On est heureux et non le contraire tu nous rend pas malheureux, calme toi Rose...calme toi...
On a besoin de toi nous Rosalie. Tu es ma fille et celle d'Esmée, la soeur d'Edward, Alice et Jasper et la femme D'Emmett. Tu fais parti de la famille. Sans toi, on ne serait pas heureux.

Voila ce que resonnez sans cesse dans la tête de la jeune blonde.Elle ne voulait pas croire ce qu'ils disaient mais pourtant au fond elle;elle savait qu'ils avaient raisons.Mais ne pas pouvoir faire son rêve une réalité,voir d'autres filles autour d'Emmett l'à mettait hors d'elle.Elle savait qu'elle devait se calmer et savoir faire confiance aux menbres de sa famille...

Oui..il faut que je me calme.

Elle avait remarquée que les humains,pour se calmer s'allongaient et fermaient les yeux.Pourquoi ça ne marcherait pas avec elle?Elle se dirigea au fond du salon et alla vers le canapé et s'allongea.Elle avait peur de fermer ses yeux comme si elle allait perdre ceux qu'elle aimait tant puis au bout de quelques minutes elle ferma les yeux..

Edward et Carlisle étaient toujours au près d'elle, les mots qu'avait dit Carlisle était la stricte verité! Rosalie fesait partie de la famille, si il arrivait quelque chose à Rosalie ou à un n'autre membre de la famille ils seraient tous malheureux, c'était comme si on enlevait quelque chose d'eux... La jeune fille commença à se calmer. Edward le ressenti aussitôt. Elle se redressat et reprit ses esprits. Il comprenait sa soeur, c'était dur pour elle de ne pas avoir pu réalisé ses rêves mais elle avait retrouvée une famille, c'était la femme d'Emmett même si elle pouvait pas avoir d'enfants ce qui était le plus chère à ses yeux. Elle avait une famille pour la soutenir. Elle se mit à marcher en direction du canapé. Sur le coup, Edward et Carlisle ne comprirent pas son geste. Malgré tout, il la laissèrent faire. Elle disais qu'elle devais se calmée elle avait peut-être une solution s'isolé aurais être peut-être la meilleure? Elle s'allongea avec grâce sur le canapé au fond du salon...les deux hommes se regardèrent, se geste était rare mais bon c'était peut-être un moyens de se calmer pour Rosalie. Edward chuchota à Carlisle :

Tu pense pas qu'il serait préférable de la laisser seule? Elle a surement besoin d'être seule.

Dit-il en là regardant, elle semblait appaisée désormais, allongée et décontracté sur le canapé.

Même si Carlisle trouvait cela normal que Rosalie craque, il fallait comme même qu'elle se calme à un moment donné. Il fallait qu'elle prenne sur elle, qu'elle oublie le passé et qu'elle avance un peu en avant. Evidement, elle n'allait pas complètement oublier sa vie d'humaine, ni ses premières années, qui avaient été les plus dur, de sa vie de vampire. Personne n'oubliait ces choses là, même les vampires.

Edward était aussi inquièt que son père. Peut être même plus que lui. Normal, c'était la première fois qu'il voyait sa soeur craquer et être dans un tel état. Carlisle lui, avait déjà vu sa fille dans une situation pire que celle-ci. En pensant à cela, il faisait allusion à sa transformation, qui n'était ni évidente pour elle, ni évidente pour lui. Rose souffrait pendant que Carlisle se sentait responsable et regrettait presque de l'avoir fait.
Que de mauvais souvenirs remontait à la surface. Il fallait enterrer les pires choses et essayer d'arriver à parler des pires souvenirs sans qu'il y ait un quelconque débordement dans ce genre.

Désormais, la vampire blonde était allongée sur le canapé. Une chose qui étonna les deux autres Cullen présents dans le salon. Elle fermait les yeux, comme pour s'apaiser, comme pour tout oublier.
Edward regarda alors son père, lui demandant si oui ou non il fallait la laisser seule.
Tous deux portèrent leurs regards sur celui de Rosalie. Un regard qui exprimait leur inquiètude, et leur impuissance face à cette situation.

- Je sais pas si c'est une bonne idée...

Bizarrement, il avait peur que sa fille fasse une bétise. Mais quelle bétise ? Une chose était sur, elle ne pouvait pas se tuer. Du moins, pas comme un humain qui voudrait se suicider sur le champ.
Le reste était vague. Elle pouvait très bien tout casser dans la maison ou bien s'enfuir pour revenir quelques semaines plus tard. C'était évidement pas le but de Carlisle de laisser sa fille partir.
Mais après tout, Rosalie était une fille intelligente. Et même dans une situation comme celle-ci, elle réfléchissait. Elle aimait sa famille, elle ne ferait pas n'importe quoi avant tout par respect pour eux.
Carlisle regarda son fils. Malgré tout ça, Rosalie avait besoin d'eux.

- Elle a besoin de nous. On doit rester avec elle pour l'aider à surmonter ça.

Comme toujours j'étais parti faire un tour en forêt. Chaque retour du lycée était pour moi le temps de manger. Comme un enfant j'avais besoin de ma collation pour être heureux et pouvoir calmé ma faim en attendant que maman trouve quelque chose pour faire le souper... N'importe quoi comme comparaison !

Je courrais dans la forêt un peu partout, je voulais juste trouver une bonne proie à me mettre sous la dent. Pas n'importe quoi . Je ne voulais pas de ses petits animaux qui ne calme ma faim que durant quelques petites heures. J'aimerai pouvoir être bien nourris pour pouvoir passer une soirée tranquille avec ma femme. Ça fait un moment que je ne me suis pas retrouver seul avec Alice. Ma douce aimée.

Mes pensées s'évada vers ma délicieuse femme. Comme je pouvais être content de l'avoir dans ma vie. Elle ma donner tout ce que Maria ma priver. Je n'ai plus de reget à être ce que je suis, je n'ai plus peur de devenir le monstre que j'étais avec Alice j'étais à l'abris de tout et pour toujours.

J'atrappa un loup, un vrai, pas une amérindien transformer. Je planta mes magnifique dent dans sa fourrure pour transpercer sa chaire. Je buvais tranquillement son sang quand une mauvaise impression de frappa de plein fouet. Quelques chose n'allait pas et je devais me rendre à la maison. Je ne savais pas pourquoi , mais je lacha la proie et courru dans la direction de la villa. Plus j'approchait et plus un souffrance prennante se faisait ressentir.

Arriver dans le salon je regardait les membres de ma famille. Carlisle et Edward parlait entre eux. Je n'avais rien saisi comme je venais d'arriver. Puis Rosalie était sur le divant. Je fronça les sourcils. Qu'est ce qui se passait ? Je regarda notre père avant de prendre la parole.

-Qu'est ce qui ce passe. Qu'est ce qui cause cette détresse...

Je regarda de nouveau ma soeur et m'approcha d'elle doucement. Ce qu'elle dégageait était si prennant que sa me rendait vraiment mal en se moment. Si j'aurai pu j'aurai pleuré, mais un vampire sa ne pleure pas....

-... Rosalie.... ?

Rosalie pensait…plutôt elle imaginait sa vie si elle aurait eût avec Emmett un enfant.Un petit être si fragile, il aurait été bercé par tant d’amour…Elle avait tant voulu, tant rêver d’avoir un petit être au chaud, dans son ventre…Mais non le destin en avait décidait autrement.Elle se laissait bercer par ses images de famille.Quand elle reconnu la douce voix de son frère Jasper.Elle disait douce car même qu’avec sa voix, Jasper emmenait la sérénité dans la famille.Depuis que Jasper était dans la famille plus personne ne pouvait se séparer de lui.Rosalie ouvrit finalement doucement un œil puis le deuxième.Elle essaya de lui sourire mais sa bouche et son cerveau ne voulait pas qu’elle sourie,elle n’en était pas capable du moins pas pour le moment.Elle vit qu’il y avait toujours Edward et Carlisle mais ils étaient à l’écart…avaient ils peur ?Elle prit doucement la main de Jasper dans la sienne.Cette scène représentait plutôt une jeune fille sur son lit de mort.Elle n’était pas entrain de mourire..quoi que si mais mentalement.Le seul mot qu’elle pût dire ce fut :

…Jasper…

Edward et Carlisle étaient à l'écart de Rosalie qui s'appaisée sur le canapé les yeux fermé. Les deux homme soucieux désidérent de rester près d'elle, ils voulaient pas qu'elle reste seule ici, puis Rosalie aurais pus faire une connerie comme partir et revenir dans quelque semaines..Edward entendu l'arrivé de son frère Jasper, il était tout près en quelque seconde il arrivas dans le salon ou se trouvé Rosalie, Edward et Carlisle. Edward regarda son frère inquiet sa soeur le rendais inquiet. Rosalie et Jasper échangère un regarde et deux paroles Edward lui avança vers eux il mis sa main sur l'épaule de Jasper dos à lui et lui fit signe de venir avec lui, ils se réfugière un peu plus loin dans le salon Edward expliquas alors à Jasper se qui c'était passé...

Ecoute, je suis arrivé au milieu de la conversation entre Rosalie et Carlisle elle était complétement éffondrée...elle a fait un crise à cause de cette vie tu c'est très bien quelle souffre parsqu'elle n'as pas pus avoir la vie dont elle rêvée...j'ai jamais vu Rosalie comme ça. Au lycée elle a fait une crise mais j'en est pas encore parlé à carlisle...

Lui dit Edward en détournant son regard vers sa soeur et Carlisle qui c'était rapproché d'elle. Edward parlé de la scène au lycée pour la première fois il en avait pas eu le temps...

Quand Rosalie me prit la main je mis un genou au sol. La scène était vraiment étrange. LA seule chose qui me lie vraiment à Rosalie est le nom de famille que nous partageons. Nous sommes diférent en plusieurs point, nous n'avons jamais vraiment passer de moment ensemble, on se parle par politesse, mais pas plus... mais en se moment je nous sens un peu trop proche sa me met un peu mal à l'aise. Je ne suis pas habituer à ce genre de contact avec la belle blonde. Je gardait sa main dans la mienne. La scene devait être étrange. Un peu au moment dans les film ou l'héroïne rend l'ame.....

Avant que j'ai eu le temps de dire quoi que ce soit Edward mit sa main sur mon épaule. Je tourna la tête pour le regarder. Il me fit signe de le suivre. Comme je voulais des éclaircissement sur cette histoire je me leva tout en déposant la main de Rosalie sur son ventre.

-Détend toi Rosalie. Respire et fait le vide en toi , je pense plus à rien...

Rosalie allait peu-être m'en vouloir en se moment. Je commençais a me servir de mon pouvoir sur elle pour la calme et aussi par la même occasion apaiser tout le monde qui était dans la pièce avec nous. Si j'étais stresser Edward qui attendait tout et Carlisle qui se laisse souvent aller à ses émotions ne devait pas être super bien.

Rendu un peu plus loin Edward me dit rapidement ce qui c'était passer avec notre soeur. Je regarda Rosalie et Carlisle un peu plus loin.

-Pourquoi ne pas m'en avoir parler la première fois.

Je regardais de nouveau Edward, sans reproche ni rien... Je n'aime pas être mis de coter et il sait très bien que je peux etre une personne apaisante, même sans mon pouvoir.

Edward venait de tout raconter à Jasper, il n'avait rien dit à sa famille seul Jasper était maintenant au courant. Edward n'avait pas fait ça dans le mal il n'avait pas eu le temps du moins, après ce qui c'était passé au lycée. Edward et Rosalie était partis dans le couloir et Bella Swan, la nouvelle avait assistée à toute la scène. Rosalie s'était apaisée. Edward regarda alors Jasper face à lui il c'était peut-être servis de son pouvoir pour apaiser la tension qui était dans la maison.

Jasper, t'es le premier à qui j'en parle, personnes le sais même pas Emmett. C'était pas en mal j'ai pas eu le temps d'en parlé, c'est la première fois que je vois Rosalie comme ça en plus de ça tout les élèves du lycée on assistés à se qui c'est passé. Rosalie a perdu le contrôle dans les couloirs Jasper! Elle a besoin de repos, d'ailleurs elle ma dit qu'elle entendait des voix, elle insinue que c'est les Volturi... Si t'avais été là je sais que t'aurais pu contrôler ses émotions mais ont étaient pas seul, Bella Swan était avec nous.

Toujours aussi inquiet pour Rosalie, Carlisle et son fils Edward la surveillait du regard lorsque Jasper, le deuxième fils Cullen débarqua à son tour dans la villa blanche. Il n’était pas arrivé comme quelqu’un de normal. Enfin, pas comme quelqu’un qui rentre tranquillement chez lui. Il s’était dépêché. Les deux Cullen, qui étaient cote à cote, l’avaient entendu arriver en courant. Visiblement, il savait que quelque chose d’anormal se passait dans la maison.

Carlisle et Edward se mirent un peu à l’écart tandis que Jasper vint aux côtés de sa sœur pour lui parler et lui prendre la main. En quelques secondes, Rosalie s’apaisa.
C’était toujours aussi incroyable, pour Carlisle, de voir l’effet du don de Jasper sur quelqu’un. Il avait beau déjà l’avoir vu à l’œuvre, il était toujours étonné.

Son fils Edward fini par rejoindre son frère pour tout lui raconter. Lui, revint au près de Rosalie, lui prenant à son tour la main et la regardant. Elle avait les yeux fermé, on pouvait croire qu’elle dormait, mais non. Les vampires, ça ne dort pas.
Les deux frères Cullen se mirent à l’écart pour parler. Mais pas assez si ils voulaient laisser leur père en dehors de tout ça. Carlisle entendait tout d’où il était, malgré que les deux vampires parlent plutôt doucement.
Alors comme ça, Rose avait perdue le contrôle au lycée et la nouvelle du lycée avait assistée à la scène ? En plus elle entendait des voix ?
Carlisle regarda sa fille puis se leva pour rejoindre ses fils. Il regarda Edward.

- Quand a-t-elle fait sa crise ?

Il était inquiet, cela se voyait. D’une part pour sa fille et de l’autre pour leur vie à tous. Car réellement, il courait un danger. Révéler qui ils étaient pouvait leur être fatale. Les Volturi ne leur ferait aucun cadeau.

- Bella Swan était avec vous ? Qu’a-t-elle entendu ?

Edward qui parlait avec son frère, lui expliquait toute la scène. Edward se doutait que son père allait entendre ce qu'il était en train d'expliquer. Carlisle arriva près d'eux alors Edward le regardas...

Elle a fait sa crise hier matin quand elle est sorti de son cour de littérature, elle ma rejoins devant ma salle, on discutait et elle est partie parler avec un élève puis d'un coup elle la plaquée au mur et elle a était prise d'un mal de tête disant qu'elle entendait les Volturi... Et y avais tous les élèves du lycée qui assistaient à la scène...

Edward jeta un œil à sa sœur qui était toujours sur la même posture sur le canapé et regarda alors les deux hommes près de lui. Il devait lui expliquer ce que Bella Swan avais vu ce n’était pas compliqué : elle avait tout vu !

Bella était avec moi en cours, elle est sortie peu de temps après moi. Elle ne devait pas être avec nous à ce moment là. Puis elle a tout vu Carlisle elle était présente tout le long... Mais elle pense que Rosalie a eu une migraine atroce. Par contre, le geste de Rosalie elle n’en a pas parlée. Elle n’a rien entendu ont à été discret. Personne n'as entendu quoi que ce soit, ne t’en fait pas.

Carlisle, Edward et Jasper étaient tous les trois à parler de Rose, pas très loin du salon, car ils préféraient garder un œil sur la jeune femme. On ne savait jamais.
Son premier fils adoptif lui racontait la scène au lycée. Bizarre comme même. Ca ne ressemblait pas à Rosalie ce genre de chose. Elle n’avait jamais cherché à se battre ni à faire du mal à qui que ce soit. Surtout pas à un humain.

Ce qui était encore plus bizarre, c’était ces voix. Le pire c’est qu’elle venait des Volturi. Oui ca c’était le pire.
Qu’est ce que tout cela voulait dire ? Pourquoi les Volturi ? Pourquoi êtes-ce Rosalie qui entendait tout ça ? Y avait-il un lien ? Carlisle s’en posait des questions à lui-même. Enfin… Edward devait surement lire tout ça dans ses pensées, donc il n’était pas le seul à se poser ses questions.

- C’est comme même bizarre vous ne trouvez pas ?

S’adressant à ses deux fils. Oui c’était bizarre. Surtout le fait qu’elle fasse une crise. Pourquoi en faisait-elle une ? Est-ce que les Volturi étaient à l’origine de tout ça ?

- Rosalie fait une crise et s’en est prit à un élève. Ca ne lui ressemble pas…
Et ces voix. Pourquoi les entends t-elle ? Ca non plus ça n’a aucun sens. Pourquoi les Volturi feraient une telle chose ?

Pour ça, il y avait de multiple raison. Enfin… Non, pas vraiment. Les Cullen n’avaient jamais franchi une seule règle. Au contraire.
La seule chose que les Vampires de Volterra ne faisaient pas au contraire de la famille, c’était de côtoyer des humains comme ils le faisaient. Une deuxième chose aussi, c’était leur alimentation. Ils n’avaient pas la même. Mais ça, c’était chacun ses choix.

Concernant cette « bagarre » entre Rosalie et l’élève du lycée, Bella Swan avait donc tout vu. Mais elle n’avait pas entendu ? Concernant le reste, heureusement, la nouvelle croyait à une atroce migraine.

- Tu es sur qu’elle n’a rien entendu ? Tu sais ce que tout ça représente Edward.

Il voulait en être sur. Car là, c’était leurs vies à tous qui étaient en jeu. Si les Volturi venaient à apprendre cet incident, ils ne leur feraient pas de cadeau. C’était sur.

Edward et Jasper écoutaient ce que disait Carlisle, en effet cela n'était pas l'habitude de Rosalie, elle fesait pas de telle chose et s'en prendre à un élève c'était pas elle. Puis ses voix, oui ces voix c'était vraiment bizarre d'ailleur c'était le plus inquiètant dans cette histoire, pour elle entendée les voix des Volturi? Y avait aucun sens...du moin Edward ne voyais pas de sens à cela.

Ci, je trouve cela vraiment bizarre...elle entend les voix des Volturi c'est inquiètant. Et comme tu dit cela ressemble pas à Rosalie elle n'as jamais fait un telle geste au paravant et ses voix je sais pas...Je ne sais vraiment pas comment elle peu entendre ses voix et je vois pas de sens non plus...j'ai pas entendu ses pensées du moin ella a pensée à une phrase elle disais de se taire! C'est là que sa ma inquieté Carlisle.

Pour Bella Carlisle était pas rassuré apparament.

Je t'assure elle c'est rien et elle a rien entendu, ont c'est se faire discret ont parlez à voix très basse. Elle pense vraiment à une grosse migraine

Edward aussi trouvait cela inquiètant. A remarquer, c'était évident. Même si Jasper ne parlait pas et écoutait son frère et son père, lui aussi était inquiet, cela se lisait sur son visage pâle.
Ce qui les inquiètaient le plus, ce n'était pas l'état de Rosalie, mais ces voix qu'elle entendait. Malgré que sa santé soit aussi inquiètante, les voix l'étaient encore plus. Surtout si elles venaient des Volturi, car tout cela pouvait être extrèmement dangeureux pour leur famille.
Son fils Edward n'avait pas réussi à lire ses pensées. Enfin, qu'une petite partie, pas très importante.

- Tu n'en sait pas plus ? Elle n'a rien dit d'autre ? Elle n'a rien perçu d'autre ? Tout peut avoir de l'importance Edward.

Oui, ici, tout avait de l'importance. Ils ne pouvaient pas se permettre de passer à côté de quoi que ce soit, leurs vies en dépendaient.

Au sujet de Bella, il n'y avait donc plus de souci à se faire. Enfin... C'est ce que Carlisle éspérait. Au moins ça, c'était réglé. Enfin, ça aussi il l'espérait.
Parce que Bella était nouvelle. Et semblait s'interesser tout particulièrement à leur famille...

- Il faut qu'elle continue à le croire. Fait en sorte qu'elle oublie cette scène. Il faut pas qu'on prenne plus de risque.

C'était pas trop le moment...

(désolé, c'est pas terrible, je me rattrape au prochain!)

Jasper ne bougeait pas. Mais cependant, il nous écoutait attentivement. Puis son père lui posa donc encore une question pour être sur de ce que lui avait dit son fils au sujet de sa soeur.
Il était pas rassuré, tout comme nous tous dans cette maison, les voix des Volturis n'étaient pas une bonne chose ça c'est sur c'est très inquiètant! D'ailleurs le souci c'était que j'avais rien entendu même pas ses voix dans sa tête. Normalement, j'aurais du percevoir au moins les voix qu'elle avait entendu, mais même pas! Même pas ses pensées ou tout juste et cela était pas bon du tout au contraire. Il était même surtout inquiet au sujet de sa soeur, lui qui était pas le plus proche d'elle cette fois c'était pas pareil!

Carlisle, je te certifie que je n'ai rien perçu d'autre ! Je n'en sait pas plus non plus. Rien, pas la moindre chose. Juste qu'elle entendait ses voix qui la rendaient folle ! J'aurais même pu percevoir les voix qui lui parlaient, mais rien... J'étais comme sourd envers ses pensées !
J'ai rien perçu d'important même pas un truc qui aurait fait tilte !

Puis, il pensa à Bella il avait pas de souci à faire sur cela , elle se doutée de rien du tout ça c'est sur!

T'inquiète pas pour Bella, elle continuera de croire que c'est une simple migraine et rien d'autre.

» Mission barbante ou intérressante ? [PV : Edward mais si d'autres Cullen veulent ^^]
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