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Alice 22
Carlisle 12-
Esmé 22
Emmett 17
Jasper 40+

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Alice 22
Carlisle 11-
Esmé 22
Emmett 17
Jasper 41+

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Devant l'autoportrait du peintre, Carmen avait l'air absent. Elle ne parvenait pas à s'attarder sur le réalisme saisissant du portrait, ni sur la manière légèrement efféminée avec laquelle West se représentait. Non, la jeune femme n'avait de pensées que pour sa belle rencontre de la veille. Elle voulait avoir un moment avec lui, lui posait des tas de questions sur sa vie pour le cerner enfin... Il n'avait rien dit sur lui... Juste parlé de ses goûts! (Ce qui en disait déjà long...)
Mais oserait-elle lui demander quoique ce soit? Il lui sembla qu'il serait bien indiscret de le faire parler de sa vie à un faux rendez-vous...

Quelques bribes de conversations lui venaient alors qu'elle rêvassait. Son père commentait les tableaux haut et fort à ses côtés alors qu'il était avec un ami militaire. Drôles de commentaires d'ailleurs... Comment les gens pouvaient-ils avoir si peu d'imagination concernant l'art? Si peu de sensibilités... C'était exaspérant, même devant des tableaux de bien faible valeur.
Quelques regards aux alentours lui indiquaient que son nouvel ami n'était pas encore là... Elle était pourtant comme paralysée, Carmen avait peur de bouger, de changer de place, juste au cas où il arriverait et qu'ils se manqueraient...

Les minutes passaient, ou peut être étaient-ce des secondes et qu'elle ne s'en rendait pas compte, et toujours aucun signe d'Eleazar Denali. Le coeur battant, la jeune femme essaya tant bien que mal de regarder le tableau avec un peu plus d'attention.
C'est à ce moment précis qu'elle sentit un souffle frais à son oreille.

"Carmen..."

Dans un léger sursaut, elle se tourna vers son interlocuteur. Sa voix était encore plus douce que la veille, sa peau plus pâle encore rendait son regard encore plus attirant. Etait-ce seulement possible que ses souvenirs lui aient rendu si peu justice? Un sourire de soulagement se dessina sur le visage de la londonienne alors qu'il la saluait poliment. Dans le même murmure que lui, elle laissa aller la phrase qui lui brûlait les lèvres.

- J'ai cru que vous ne viendriez pas...

Elle prit de sa main gauche le verre qu'il lui tendait, mais se sentait incapable d'avaler quoique ce soit tant son estomac semblait être de pierre... L'espagnol se tourna alors vers le colonel Hamilton. Le coeur battant, Carmen ne savait pas comment elle devait présenter cet homme à la figure paternelle...

"Colonel Hamilton, puis-je me permettre de vous offrir ceci ?"

Georges Hamilton se tourna vivement, légèrement surpris. D'où cet homme pouvait-il bien le connaître? Le coeur de Carmen battait à tout rompre, elle n'avait pas prévu les présentations...
Le militaire observait tour à tour Carmen et Eleazar. Faisait-il le rapprochement? Poliment, il accepta le verre que l'espagnol lui tendait dans un sourire poli...

- Je vous remercie, Monsieur. Il regarda sa fille d'un air interrogateur. A qui ai-je l'honneur?

Carmen déglutit dans un sourire. Pourquoi cette situation était-elle embarrassante? Elle se sentait comme une adolescente prise sur le fait en train de faire une idiotie quelconque. Il fallait à présent compter sur le charme d'Eleazar. Elle ne savait presque rien de lui... Comment l'introduire?

- Euh... Père, je vous présente Eléazar Denali... Un ami d'Espagne...

Voilà... Sous-entendre qu'elle le connaissait depuis longtemps...

My RP

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le rendu posté dans "Aide à la création"

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H - - - - E - - - - -

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lien du tuto "fond texturé"

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Alice 22 +
Carlisle 8
Esmé 21
Emmett 17
Jasper 45 -

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Kathou découvre qu'elle a deux ingrédients très sympa, mais que le 3e la dégoûte un peu quand même, alors elle fouille plus encore

Ah le jeu elixir sur NU

Elixir? Comme le jeu de cartes?

Citation :

Nothing's happening...

Oui oui comme le jeu de cartes ^^

Citation :

Comme une étoffe déchirée
On vit ensemble séparés
Dans mes bras je te tiens absente
Et la blessure de durer
Faut-il si profond qu'on la sente
Quand le ciel nous est mesure

C'est si peu dire que je t'aime

Cette existence est un adieu
Et tous les deux nous n'avons d'yeux
Que pour la lumière qui baisse
Chausser des bottes de sept lieues
En se disant que rien ne presse
Voilà ce que c'est qu'être vieux

C'est si peu dire que je t'aime

C'est comme si jamais jamais
Je n'avais dit que je t'aimais
Si je craignais que me surprenne
La nuit sur ma gorge qui met
Ses doigts gantés de souveraine
Quand plus jamais ce n'est le mai

C'est si peu dire que je t'aime

Lorsque les choses plus ne sont
Qu'un souvenir de leur frisson
Un écho des musiques mortes
Demeure la douleur du son
Qui plus s'éteint plus devient forte
C'est peu des mots pour la chanson

C'est si peu dire que je t'aime
Et je n'aurai dit que je t'aime

Sur le net????

sur le forum NU
mais c'est pas la même chose qu'en cartes, t'emballe pas XD

Citation :

Comme une étoffe déchirée
On vit ensemble séparés
Dans mes bras je te tiens absente
Et la blessure de durer
Faut-il si profond qu'on la sente
Quand le ciel nous est mesure

C'est si peu dire que je t'aime

Cette existence est un adieu
Et tous les deux nous n'avons d'yeux
Que pour la lumière qui baisse
Chausser des bottes de sept lieues
En se disant que rien ne presse
Voilà ce que c'est qu'être vieux

C'est si peu dire que je t'aime

C'est comme si jamais jamais
Je n'avais dit que je t'aimais
Si je craignais que me surprenne
La nuit sur ma gorge qui met
Ses doigts gantés de souveraine
Quand plus jamais ce n'est le mai

C'est si peu dire que je t'aime

Lorsque les choses plus ne sont
Qu'un souvenir de leur frisson
Un écho des musiques mortes
Demeure la douleur du son
Qui plus s'éteint plus devient forte
C'est peu des mots pour la chanson

C'est si peu dire que je t'aime
Et je n'aurai dit que je t'aime

Citation :

Depuis le temps que je te cherche
Que je parcours les continents,
Mes larmes sont devenues sèches,
Depuis le temps, depuis le temps
Comment pouvais-je imaginer
Que tu étais si près de moi
Qu'une seule cloison nous séparait,
Si près de moi, si près de moi...

J'ai fais 2 fois le tour du monde
J'ai même été chez les Arabes
J'ai visité des souks immondes
J'ai du bouffer du chich kebab
Je suis allé chez les Chinois
Putain la vache il sont nombreux
Je me suis gavé de soja
J'ai eu la chiasse c'est monstrueux

Refrain
Tu étais au toilettes mon amour
Remplissant la cuvette comme toujours
Tu étais au toilettes mon oiseau
Remplissant la cuvette beaucoup trop

J'ai eu l'estomac déréglé
Les intestins plein de coulante
Le trou du cul prêt a péter
Une putain d'chiasse dégoulinante
Ouvre la porte je t'en supplie
Ne laisse pas notre amour se perdre
Je t'ai cherché à Monoprix
Et j'ai le cul rempli de merde

Ben ça craint alors...

Citation :

#29438e

Le code couleur du bleu que j'ai utilisé pour faire le cadre d'un kit

Citation :

Il y avait des situations que l'on aimait pas particulièrement. Revoir l'homme que l'on avait rencontré la veille et qui avait fait battre votre coeur devant la figure paternelle en faisait partie. Certes, Carmen était ravie de retrouver Eleazar, mais plus vite elle se retrouverait seule avec lui, mieux ce serait.
En attendant, le colonel avait la chance de pouvoir converser avec l'espagnol sans contrainte. Pourquoi diable la société était-elle faite ainsi? Pourquoi était-il impératif qu'une fille fasse valider un choix par son père? La frustration de ce moment aurait pu rendre folle Carmen si elle n'avait pas eu la possibilité de se plonger dans le regard d'Eleazar.

En toute discrétion, elle n'avait de cesse de lever les yeux vers son remarquable visage. De ce fait, la jeune femme avait toutes les difficultés à suivre les dires de son père. Surtout qu'il s'agissait d'elle, et cela était assez gênant pour Carmen. De toute façon, avait-il vraiment eu de la fierté pour sa fille...

- Oui, c'est une femme hors du commun...

Entendez par là: elle n'est comme aucune autre fille de son âge, heureusement que j'ai dépassé mon sentiment de honte!
Carmen savait pertinemment ce que son père gardait une certaine rancune envers elle. Mais que pouvait-elle y faire? Absolument rien alors... Il était plus agréable d'être aux côtés d'Eleazar... D'autant plus que son ténor chantait à ses oreilles alors qu'il complimentait presque exagérément Georges Hamilton. Il fallait bien cela pour qu'une relation de confiance s'installe entre eux. Quelle mise en scène! Le colonel n'y voyait que du feu...

- Je ne le nie pas... Morgane et Carmen sont ma plus grande fierté, on ne cesse de me complimenter sur elles en société! Pour ma part, j'excelle dans mon métier et je me voue corps et âme à la famille royale. Voilà mon art, Monsieur. Protéger notre patrie.

Il avait dit tout cela d'un ton très hautain, un peu trop. Même les prénoms des deux femmes de sa vie. Dans tous les cas, le jeu de Carmen et d'Eleazar marchait à merveille!

- Nous avons donc tous les deux le même but, estima le colonel dans un large sourire lorsque Eleazar répondit à sa question, je suis ravi que nous partagions ce chemin. Au moins, ma fille sait choisir ses amis comme elle sait reconnaître un chef d'oeuvre.

Ainsi c'était un homme qui avait des responsabilités. Carmen n'était absolument pas étonnée. Plus elle en apprenait sur lui, plus elle avait confiance. Elle ne ressentait plus l'appréhension du matin. Tout ce que la jeune femme désirait c'était se retrouver avec lui.

Alors qu'il s'adressait à elle concernant le peintre espagnol, Eleazar la dévisageait avec une attention particulière qui fit bondir le coeur de la demoiselle. Le regard qu'ils échangeaient sembla durer de longues secondes et Carmen en ressentit certains frissons le long de son dos.
Pourquoi avait-il fallu que l'autre militaire interrompe ce moment?
En même temps qu'Eleazar, Carmen et Georges Hamilton se retournèrent vers lui.

- Georges, nous allons au salon à l'étage. Vous nous suivez?

Le colonel sourit et acquiesça d'un signe de tête. Il se tourna alors vers sa fille et Denali et leva son verre pour l'espagnol.

-Encore merci, Monsieur Denali. Si je peux me permettre de vous confier ma fille, vous aurez l'occasion de... Parler d'art par exemple! Il eut un large sourire. Au plaisir!

Il s'éloigna à grand pas avec son subordonné.
Carmen se tourna enfin vers Eleazar. Elle avait espéré cet instant toute la journée. Il était enfin là...

-Je suis désolée pour tout ce cirque, murmura-t-elle.

RP!

Citation :

https://www.youtube.com/watch?v=P2XjKf49oJc&feature=related

Une tite vidéo bien simpa conseillé sur la chat box d'un autre fofo ^^

Citation :

Travailler intelligemment mais pas beaucoup. C'est ma philosophie, patron.

Citation :

1462

Le nombre de message de Bella^^

Citation :

L'ordinateur Du Bonheur
Bill Baxter

Titre de la chanson

Citation :

21:22:35] Alec Volturi : Lilendra !!

[21:22:49] Alec Volturi : Bonsoir ma chérie comment vas tu ^^

[21:22:50] Alec Volturi : ??

[21:24:06] Lilendra Volturi : oh mon amour il y a tellement longtemps que je ne t'avais vu

[21:24:15] Lilendra Volturi : je vais bien et toi ?

[21:26:14] Alec Volturi : Le temps me durait sans toi mon aimée

[21:26:22] Alec Volturi : je vais très bien mis à part ça

[21:26:38] Lilendra Volturi : oooooh pauvre ange vient dans mes bras^^

[21:26:41] Alec Volturi : (comment je parle bien ^^ Je me bluff moi même parfois^^)

[21:26:43] Lilendra Volturi : je sis rassurée

[21:26:52] Lilendra Volturi : (lol je trouve aussi^^)

[21:27:12] * Alec Volturi prend sa jolie compagne dans ses bras et la sert fort contre lui

[21:27:39] * Lilendra Volturi embrasse son tendre vampire

[21:28:30] Alec Volturi : Tu ne quitera plus l'éteau de mes bras maintenant

[21:28:46] Alec Volturi : l'absence de tes baisers c'est fait cruellement ressentir

[21:30:57] * Alec Volturi rend son baiser à sa douce

[21:32:11] Lilendra Volturi : cela ne me dérange pas

[21:32:23] Lilendra Volturi : ^^

[21:32:38] Alec Volturi : tant mieux^^

[21:32:50] Alec Volturi : C'est calme ce soir on dirait

[21:33:03] Alec Volturi : Nous avons la chatbox pour nous seuls XD

[21:33:44] Lilendra Volturi : oui c'est assez rare, habituellement il y a toujours beaucoup de monde....jane va bien ?

[21:34:51] Alec Volturi : Je crois

[21:35:12] Alec Volturi : Mais elle est toujours en froid avec moi je crois

[21:35:35] Alec Volturi : Mais j'attendrai le temps qu'il faudra pour qu'elle me revienne

[21:35:38] Lilendra Volturi : oh mon pauvre amour

[21:35:51] Lilendra Volturi : elle te reviendra j'en sis sure

[21:35:53] Lilendra Volturi : suis

[21:37:40] Alec Volturi : J'espère de tout mon coeur , mon coeur coupé en deux , car une partie de mon être m'a quitté quand une autre m'a rejoint . Cela fait mal mais d'une certaine manière la douleur prouve que nous somme vivants

[21:39:39] Lilendra Volturi : ohhh c'est si beau mais si triste, comme tu dois souffrir mon coeur

[21:40:30] Lilendra Volturi : (je vais aller mangerje re vite)

[21:40:52] Alec Volturi : La souffrance fais concurrence au bonheur qui occupe mes heures depuis ta venue dans ma vie saugrenue

[21:41:01] Alec Volturi : mdr j'étais inspiré

[21:41:10] Alec Volturi : Bonne appétit mon coeur

[21:41:12] Lilendra Volturi : oui je vois ça c'est trop mignon

[21:41:48] Alec Volturi : ça me prend parfois ^^

J'étais si fière de mes vers que j'ai eu envie de les garder ^^ (je suis alec Et Lila est mon amante sur un autre fofo ^^ ici nous étions sur la chatbox)

lol
ça nous change des c/c habituels ^^

Citation :

M _ _ _ T E _ _ _ _ E

Citation :

Après cette "petite" promenade, les deux vampires marchaient l'un à côté de l'autre, s'engouffrant de plus en plus dans la fôret.
le sujet sur les bergers du coin, Eleazar y coupa court après une dernière phrase. C'était évidement, pas la peine de continuer sur ce sujet. Autant passer à ce pourquoi ils étaient dans cette fôret.

Son partenaire rit à sa question. Il était vrai que le côté par lequel chacun allait passé, importait peu. Il avait juste posé cette question histoire de savoir comment il s'organisait. Rien de plus.

- Je voulais juste savoir comment on s'organisait.

Juste à la suite de cette petite phrase de défense, que Carlisle faisait passer pour une simple excuse, n'ayant aucune agresivité dans la voix, Eleazar lui indiqua le côté qu'il devait prendre. La droite. Très bien. Ils étaient fixés sur le côté que chacun devait prendre.

Evidement, les loups n'étaient pas comme les vampires. Ca n'avait même, rien à voir. On ne pouvait pas comparer. Le vampire brun avait raison en disant que ce n'était pas comme si ils devaient métriser plusieurs nouveaux-nés. Ils étaient bien loin de cette situation, heureusement.
Pour Eleazar et Carlisle, attraper des loups allait être un jeu d'enfants.
2 voir 3 loups pour chacun, cela semblait convenable pour un début. Aussi pour éviter la disparition totale de l'espèce dans le coin.

- Très bien. Oui, cela suffira. Pour un début, c'est largement suffisant.

Ce n'était que la première expérience. Après, ils pouvaient s'attaquer à une autre éspèce, qui leur procurait autant de sang que les loups. Il était évident que leur prochaine éxpérience, n'allait pas être le lendemain. Mais bien quelques semaines plus tard. Enfin... Si ils renouvellaient l'éxpérience.

Carlisle croisa le regard d'Eleazar, quand celui ci lui demanda de ne pas viser les jeunes loups, ni les mères, ni le chef de la meute. Bien sur, ça allait de soit si ils voulaient laisser l'éspèce en vie.

- Je ferais attention.

Le vampire blond lui assura d'un signe de tête, avant que son partenaire ne s'éloigne pour commencer cette petite chasse.

Carlisle, prit par la doite, comme lui avait indiqué le brun. Il s'enfonça dans la fôret, sans bruit, marchant lentement. Pas la peine de se presser. Cela pourrait les alerter. Inutile de courir un risque quelconque. Ce n'était pas vraiment le jour de jouer pour faire des blagues ni quoi que ce soit dans le genre.
Suivant sa trajectoire, il guettait le moindre bruit, la moindre odeur animal.

Mon RP avec Eleazar que j'ai postée y a quelques minutes.

Citation :

L’envie... elle croissait comme une plante extrêmement vivace et rapide à grandir. Elle poussait comme une flèche, ne tenant compte d’absolument rien de terrestre. Tout ce qui comptait, c’était l’instant présent. Et peu importait le reste : les gens qui étaient là, les lieux, les oeuvres de West... tout cela était relégué au second plan, comme un décor factice ne servant qu’à baigner l’envie d’une ambiance différente. Envie de quoi ? Eh bien, encore une fois, c’était plutôt difficile à dire, mais cela oscillait entre le désir de rester seul avec Carmen et le désir de s’abreuver d’elle. Eleazar ne savait pas lui-même ce qui l’attirait le plus des deux possibilités précitées. Il écoutait d’une oreille quelque peu distraite ce que lui racontait le colonel, mais faisait mine d’être toujours aussi attentif.
Il n’était pas nécessaire d’ajouter une couche de compliments supplémentaire à l’attention de mademoiselle Hamilton. Elle savait certainement que tout ce qui se disait en ce moment était une joute de politesses aux yeux de Denali. Mais si elle ne le savait pas, alors il allait certainement passer pour flagorneur...

Vint un moment où Georges Hamilton évoqua sa femme, à l’instar de sa fille. Le vampire opina en souriant alors que tout se mettait en place dans son crâne. Le parfum si semblable. La ressemblance physique. La culture qui dépassait de loin celles des aristocrates habituels. Cette douceur, cette beauté, cette personnalité rare... Ce n’était pas possible... Eleazar lança un regard un peu suspicieux à Carmen, bien qu’elle n’eût strictement rien à savoir de ce qui se trouvait actuellement dans la tête du garde des Volturi.
Mais déjà, le colonel continuait sur sa lancée, évoquant la grandeur de la patrie à laquelle il vouait sa vie et allant même jusqu’à dire que Carmen choisissait ses amis comme elle reconnaissait les oeuvres d’art.

"..."

Et non, décidément, une fois lancé, le colonel ne s’arrêtait plus ! Apparemment, il avait été suffisamment mis en confiance pour qu’Eleazar puisse bénéficier de la garde de la jeune femme.

"Très volontiers, colonel. Passez un agréable moment avec vos amis."

Une fois le militaire parti, Denali soupira doucement. Enfin, ils allaient avoir un moment à eux, vraiment à eux... Carmen commença par s’excuser pour la comédie qu’il avait fallu jouer devant son père.

"Ne soyez pas désolée, c’était la meilleure façon de faire pour éviter d’avoir un chaperon durant tout l’après-midi..." Puis il ajouta, dans un sourire de connivence "Cela dit, vous avez entendu aussi bien que moi, votre père vous a confiée à mes bons soins... Je ne suis pas certain d’être un chaperon idéal à ses yeux, mais je n’osais espérer une telle tâche."

Tout cela était vrai, bien sûr, il avait suffi de discuter quelques minutes à peine avec le colonel Hamilton pour que celui-ci se sentît en confiance. Avait-il si peu d’estime pour sa fille qu’il la laissait sans scrupule auprès d’un quasi inconnu ? Et qu’en était-il alors de sa femme, de Morgane ?

Se penchant légèrement vers l’oreille de Carmen, Eleazar lui proposa une idée qu’il venait d’avoir. Pourquoi rester ici, désormais ? Le colonel était parti s’amuser – à entendre les bruits qui filtraient par le plafond, les hommes là-haut jouaient aux cartes en buvant et fumant beaucoup, il y avait aussi quelques femmes qui se trouvaient avec eux – il n’y avait donc plus aucune raison de demeurer là, à feindre l’intérêt pour des toiles qui n’en avaient aucun.

"Avez-vous vraiment l’intention de parcourir toute cette exposition ?
Nous pourrions préférer un endroit un peu plus calme de ce bâtiment pour converser avec un peu plus d’aisance...
Je vous promets que nous serons de retour ici juste avant que votre père ne revienne de sa partie de bridge..."

Et si elle acceptait, Denali essaierait, évidemment, d’en savoir un peu plus sur la mère de Carmen. Pour être sûr, pour vérifier. Il n’avait pas remarqué qu’il avait lâché une information sans le vouloir en évoquant le bridge du colonel. Jamais Georges Hamilton ni ses subordonnés n’avaient parlé de cela et le vampire avait lâché la chose comme si cela avait été tout à fait normal. Mais puisqu’il ne s’en rendait pas compte, cela n’avait pas vraiment d’importance.

Citation :

? rien du tout...

Citation :

http://rpg-twilight.forumotion.com/

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